Présentez-nous votre ouvrage

Lucie c’est l’histoire d’une rencontre inattendue. N’est-ce pas le cas de la plupart des rencontres ? On ne s’attend à rien, surtout pas aujourd’hui, pas ce soir… Et pourtant ça arrive. Mais est-on encore capable, de nos jours, de s’ouvrir à l’inconnu ? à l’autre ? de le laisser entrer dans notre vie ? J’ai voulu tenter l’expérience.

Pourquoi avoir écrit ce livre ?

J’ai écrit l’histoire que j’aurais eu envie de lire à cet instant de ma vie. J’avais besoin de m’évader, de sortir de ma vie, pour diverses raisons et l’univers de Lucie me l’a permis. Cela m’a permis aussi, de faire passer quelques idées auxquelles je crois profondément.

À quels lecteurs s’adresse votre ouvrage ?

J’aimerais dire que cette histoire s’adresse à tout le monde. La vérité étant que certains passages évoquent le thème de la sexualité sans tabou ni barrières. Ces passages pourraient choquer les plus jeunes. Je dirais donc, en tant que maman, que ce texte ne s’adresse pas aux adolescents.

Quel message avez-vous voulu transmettre à travers ce livre ?

Le message que je souhaite transmettre est le suivant : Il nous appartient d’être ce que nous voulons être, d’avoir le courage de l’être et de ne s’en justifier auprès de personne. Il nous appartient aussi, de fait, d’accepter que les autres soient ce qu’ils sont sans s’octroyer le droit de juger. Le monde actuel s’est donné la liberté de juger tout un chacun mais qu’est-ce qui lui en donne le droit ? la légitimité ? Notre bonheur passe par cette acceptation de soi et de l’autre.

Où puisez-vous votre inspiration ?

Je puise mon inspiration dans tout ce qui m’entoure : une conversation, un film, un texte, une image, un ressenti, une émotion, une envie, un rayon de soleil, un rayon de lune, une odeur…

Quels sont vos projets d’écriture pour l’avenir ?

Une nouvelle rêverie me porte actuellement. A voire si elle connaîtra le même cheminement que Lucie.

Un dernier mot pour les lecteurs ?

Il y a une grande différence entre liberté et égoïsme, mais je ne suis pas philosophe.

Hélène CULLY