Pour son ouvrage «Où est le bouton reset ?», l'auteur nous dit tout...

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Présentez-nous votre ouvrage

Un crime a été commis, il y a 30 ans, Maximilien Lepôtre est sorti de prison, et un criminologue très médiatique Hugues Bréon de la Sale demande à son étudiante Felippa Mendes-Soares d’étudier sa réinsertion. D’entretien en entretien, elle découvre un homme à l’histoire personnelle compliquée, impressionnante. Pourquoi cet intérêt de son professeur pour cet homme ? Elle voudrait renoncer, mais comment s’opposer à la séduction de son mentor ? N’est-elle pas tombée sous son emprise ? Celle qu’un immense savoir peut accorder. En poursuivant son étude, elle découvre la folie d’un professeur ivre de sa science, prêt à tout pour atteindre l’Everest de sa discipline.

Pourquoi avoir écrit ce livre ?

Des médecins ne se sont-ils pas inoculé des virus pour connaître la puissance d’un vaccin ? Un criminologue ne peut-il pas devenir criminel pour découvrir la genèse d’un meurtre, aussi odieux soit-il ?

À quels lecteurs s’adresse votre ouvrage ?

Qui n’a pas eu dans l’idée, au moins une fois, de vouloir refaire sa vie ? D’avoir une seconde chance.

Quel message avez-vous voulu transmettre à travers ce livre ?

Ce roman policier, c’est l’histoire de personnages qui voudraient un nouveau départ. Tout effacer, pour un tableau blanc. Mais la vie est intransigeante.

Où puisez-vous votre inspiration ?

Cette histoire a trouvé certainement son origine dans tous ces experts médiatisés dont les écrans nous abreuvent. La vie est une source perpétuelle d’inspiration, nos contemporains portent tous en eux des prémices romanesques. Ensuite, la plume fait le reste.

Quels sont vos projets d’écriture pour l’avenir ?

Écrire est certainement une addiction, ce roman est le onzième ; d’autres font du footing ou de la natation, moi j’affronte l’imaginaire un stylo en main.

Un dernier mot pour les lecteurs ?

Il y a toujours cette idée que le roman achevé sera encore meilleur que les précédents. Mais, il est poussé par le suivant, qui a déjà un nom « Polar Soft », lui aussi porte de grandes espérances.

Philippe COET