Pour son ouvrage «La vérité pour Mica», l'auteur nous dit tout...

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Présentez-nous votre ouvrage

Mes romans prennent leur source dans l’actualité, un simple fait divers peut être le début d’une nouvelle histoire. Il m’arrive parfois de précéder de peu l’évènement.

Pourquoi avoir écrit ce livre ?

Dans la vérité pour Mica, j’ai été attiré par ces collectifs qui se créent lors d’évènements dramatiques. Comment ? Quelle est leur vie ? Sont-ils manipulés ? Et par qui ? Après l’imaginaire fait le reste, mais toujours avec la volonté de rendre la lecture agréable.

À quels lecteurs s’adresse votre ouvrage ?

Loin de moi, l’idée d’effectuer un travail ardu.

Quel message avez-vous voulu transmettre à travers ce livre ?

Mon souci principal est de distraire mes lecteurs, et pourquoi pas de leur plaire.

Où puisez-vous votre inspiration ?

Mes personnages sont puisés dans quarante années d’exercice de la profession d’avocat où j’ai acquis une certaine connaissance des individus. La rédaction achevée, le manuscrit posé sur ma table, il me faut entreprendre un autre travail. Certains aiment le footing, le vélo, moi je suis accroc à l’écriture. Il n’y a jamais plus de deux mois entre deux romans.

Quels sont vos projets d’écriture pour l’avenir ?

Actuellement, j’ai déjà dépassé la moitié d’un nouveau policier. Il s’agit d’un criminologue manipulateur obsédé par la genèse d’un crime vieux de trente ans… Mais j’arrête là.

Un dernier mot pour les lecteurs ?

Je vous précise m'être inscrit à deux concours littéraires.

Sylvain BOUSIQUE