Pour son ouvrage «Le sang blanc», l'auteur nous dit tout...

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Présentez-nous votre ouvrage

Pourquoi un meurtre ne pourrait-il pas cacher un assassinat qui en dissimulerait un autre ? Ce 14 juillet-là, à Castres, la ville natale de Jean Jaurès, au cours du traditionnel défilé patriotique, un drame se produit qui va déclencher un affreux pastis policier, judiciaire et politique. La géographie et l’histoire de la ville du sud-ouest, scrutée par l’œil professionnel du photographe irlandais Bill Joyce, offrent un décor vivant et captivant à l’intrigue quelque peu mystérieuse.

Pourquoi avoir écrit ce livre ?

Je l’ai écrit en réponse à un défi lancé par ma femme, dédicataire du livre, native de Castres et amatrice de polars.

À quels lecteurs s’adresse votre ouvrage ?

Il s’adresse à tous les lecteurs friands de thrillers et particulièrement à ceux qu’intriguent les dessous des institutions humaines, trop humaines.

Quel message avez-vous voulu transmettre à travers ce livre ?

Le message, si message il y a, serait que les apparences sont trompeuses bien souvent mais que nous adorons les leurres.

Où puisez-vous votre inspiration ?

Je pense que les livres sont toujours issus d’autres livres qu’on a lus ou qu’on a rêvés de lire.

Un dernier mot pour les lecteurs ?

Le sang blanc sur fond noir de couverture, c’est une belle provocation à la lecture.

Daniel ROUALLAND