Pour son ouvrage «Délires fumeux», l'auteur nous dit tout...

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Présentez-nous votre ouvrage

Délires fumeux et un livre de pensées loufoques, imaginées par un fumiste - moi-même – dans l’acceptation de la définition de 1852 de ce mot.

Pourquoi avoir écrit ce livre ?

Tout simplement parce que tant que je n’avais pas retranscrit ces idées, elles restaient dans mon esprit. Mon cerveau a alors commencé à fumer et j’ai dû prendre le stylo, pour les coucher par écrit et ainsi aérer ma boîte crânienne.

À quels lecteurs s’adresse votre ouvrage ?

À toutes les personnes qui veulent se détendre pour se désembrumer la tête et/ou se désenrhumer les poumons ! À tous ceux qui voudront peut-être arrêter la cigarette et à tout ceux qui voudront peut-être ne jamais commencer. Aux personnes qui ont de l’humour.

Quel message avez-vous voulu transmettre à travers ce livre ?

C’est avant tout un livre humoristique. Cependant, tout le monde s’accorde pour dire que tabac n’est pas bon pour la santé. Et si tout le monde le sait, il est plus difficile d’arrêter que de commencer.

Où puisez-vous votre inspiration ?

Je dirais que c’est un courant de pensées qui traverse mon esprit…

Quels sont vos projets d’écriture pour l’avenir ?

Après la parution de mes deux premiers opus, je disais que je me penchais sur un thriller et que tout était dans ma tête. Si c’est encore vrai, aujourd’hui, pour la deuxième partie de la phrase, je me sens totalement bloqué par je ne sais quoi pour convertir mes idées sur l’ordinateur. Ou plutôt, je dirai que j’ai l’impression qu’une idée plus prégnante se fait sentir en moi. Donc je laisse le temps à l’inspiration de me proposer le fil de son chemin.

Un dernier mot pour les lecteurs ?

Toujours le même, sous forme d’autosatisfaction schizophrène : je félicite l’auteur de ces délires que j’ai lus après les avoir écrits moi-même. Prenez autant de plaisir à lire ce livre, et les suivants qui sortiront de mon imagination, que j’en ai eu à l’écrire et à le partager dorénavant.

Claude VEDDER