Pour son ouvrage «Journal intime de Sébastien - Ne pas lire», l'auteur nous dit tout...

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Présentez-nous votre ouvrage

C’est l’histoire d’un mec qui, à l’aube de la quarantaine, vit dans les regrets, la frustration et la routine. Seulement le monde va brusquement changer, et lui va suivre le mouvement… Comment évoluerons-nous en cas de guerre civile ou militaire ? Personne ne peut vraiment le dire…

Pourquoi avoir écrit ce livre ?

J’avais envie de mêler roman d’anticipation et thriller, et profiter ainsi d’une atmosphère générale anxiogène pour le personnage principal. Une atmosphère propice à l’épanchement et à la débauche…

À quels lecteurs s’adresse votre ouvrage ?

Aux amateurs de géopolitique, pour nourrir le débat face aux aléas politiques récurrents sur la planète. Mais l’ouvrage reste un thriller avec une intrigue et quelques indices disséminés ça-et-là.

Quel message avez-vous voulu transmettre à travers ce livre ?

J’ai voulu provoquer chez le lecteur une réflexion sur notre monde actuel à travers ses dérives, ses rémanences, ses contradictions… Au travers de cette anticipation parmi des milliers d’autres possibles, j’aimerais attirer l’attention sur un fait : l’histoire est un éternel recommencement… En 1918, personne ne pensait possible un remake de cette horrible Guerre mondiale…

Où puisez-vous votre inspiration ?

Un peu partout… J’aime les documentaires sur l’économie ou la géopolitique, les débats sur les faits de société, l’histoire avec un grand H comme l’histoire d’un camionneur Népalais… Tout se mélange pour nourrir mon imagination. Tout petit déjà, avec les figurines en plastique danoises ou allemandes, j’inventais toutes sortes de scénarios. C’est une sorte de retour en enfance…

Quels sont vos projets d’écriture pour l’avenir ?

Un quatrième ouvrage est en préparation. J’ai le début, la fin et quelques étapes importantes… reste à imaginer les liaisons. Avec mon éditrice, j’ai beaucoup appris et j’aborderai l’écriture de ce nouveau thriller différemment, tout en gardant un style très personnel.

Un dernier mot pour les lecteurs ?

Bonne lecture !

Esteban POHIER