Pour son ouvrage «Big bang d’une histoire : 60 univers parallèles», l'auteur nous dit tout...

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Présentez-nous votre ouvrage

J’ai imaginé une histoire banale, courte, pour la décliner en plusieurs univers différents, 60 exactement. L’histoire originelle garde alors son sens et sa saveur dans toutes les variantes.

Pourquoi avoir écrit ce livre ?

Lorsque j’étais au collège, j’avais lu Exercices de style de Raymond Queneau et j’avais été fasciné par cet exercice de style. Il a réussi à tirer 99 déclinaisons !!! Je voulais à mon tour ressentir le plaisir d’embarquer mon imagination dans un torrent de délires à partir une histoire anodine. Et j’aime partager ce que je crois intéressant d’autant plus si c’est amusant et divertissant.

À quels lecteurs s’adresse votre ouvrage ?

Aux râleurs et aux bougons qui trouveront de quoi soulager leur rage. Aux rieurs qui riront encore davantage. Aux médecins, aux ripeurs, aux bouchers, aux gardes mobiles, aux instituteurs, aux sportifs, aux oisifs, aux… aux… aux… bref : à tous les lecteurs désireux de passer un bon moment.

Quel message avez-vous voulu transmettre à travers ce livre ?

Faut-il vraiment y trouver un message ? Je ne sais pas. Si ce n’est peut-être que l’imagination est une force incroyable dès lors que vous la laissez vous envahir.

Où puisez-vous votre inspiration ?

Le départ de ce livre est clairement une réminiscence d’Exercices de style même si j’ai volontairement laissé de côté cet ouvrage pour trouver mes propres univers. Pour l’inspiration en elle-même, je dirais que c’est un courant de pensées qui traverse mon esprit…

Quels sont vos projets d’écriture pour l’avenir ?

Je suis en encore pleine réflexion sur un thriller. Tout se met en place dans ma tête mais je me dois de prendre le temps car cohérence et logique dans les rebondissements d’une histoire sont forces d’intérêt et de compréhension.

Un dernier mot pour les lecteurs ?

Le même que la dernière fois, sous forme d’autosatisfaction schizophrène : je félicite l’auteur de ces délires que j’ai lus après les avoir écrit moi-même. Prenez autant de plaisir à lire ce livre, et les suivants qui sortiront de mon imagination, que j’en ai eu à l’écrire et à le partager.

Claude VEDDER