Pour son ouvrage «I LOVE POPULIS», l'auteur nous dit tout...

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Présentez-nous votre ouvrage

Likez vous les uns les autres et vous aurez des POP ! À part le monde, qu’est-ce qui pourrait mal tourner ?

Pourquoi avoir écrit ce livre ?

Pourquoi on écrit un livre, pourquoi on écrit une musique, etc n’est pas forcément quelque chose de conscient sur le moment. En revanche, la réalisation le devient par la suite. Il est possible également que mon parcours personnel ainsi que l’époque actuelle offre une large possibilité d’extrapolation à partir d’erreurs de plus en plus nombreuses et de plus en plus ridicules. De là à savoir s’il faut finalement en rire ou en pleurer, un large éventail de fils rouges ne demandent qu’à être tirés.

À quels lecteurs s’adresse votre ouvrage ?

À tous les types de public aimant l’imaginaire, la science fiction, la dérision ou tout univers qui frise l’absurde.

Quel message avez-vous voulu transmettre à travers ce livre ?

L’une des conclusions (qui ne dévoile rien) est que « n’étant pas parfaits et pour ce qui est de l’erreur, celle-ci étant humaine, la première de toute est souvent de prétendre savoir comment ne pas en faire… »

Où puisez-vous votre inspiration ?

D’une manière générale et pour ce qui est du fond, l’expérience personnelle et le doute sont souvent des points de départ. Mais surtout, ce sont les gens que l’on côtoie de près ou de loin, leurs relations et leurs contradictions. Pour ce qui est de la forme, il s’agit souvent d’une inspiration baroque allant de Lewis Carroll (Alice aux pays des merveilles) à Terry Gilliam (Brazil) en passant par une culture Pop, Rock, Classique, etc… et plus particulièrement pour ce livre, « La conjuration des imbéciles » de John Kennedy Toole qui, même s’il n’a pourtant rien à voir avec ce livre était curieusement très présent.

Quels sont vos projets d’écriture pour l’avenir ?

« 243 » (titre provisoire) : une trilogie dystopique accès sur la survie et la psychologie de groupe lorsque celui-ci se voit confronté au dilemme d’être libre à condition de pouvoir s’échapper.

Un dernier mot pour les lecteurs ?

Ça va bien se passer ;-)

FØDOR