« Il faut qu’on en reparle » : la presse en parle !
Notes de lecture - "Il faut qu’on en reparle"
Culture - 30/03/2025
Ne pas dénaturer l’Histoire ne veut nullement dire ignorer ses mauvais côtés. Nous sommes tous dans le sens de la grande Histoire en célébrant la Résistance, Jean Moulin, le Conseil national, le Grand Charles, Lucie Aubrac. Ce qui n’interdit nullement de dire les monstruosités de 1944, la foule des résistants improvisés et notre ami Maraval ne s’en prive pas. Avec tout le brio qu’on lui connaît.
Pour son troisième roman, Dominique Maraval ne marche pas à côté des flaques : il met les pieds dedans et éclabousse joyeusement les alentours de tout ce que les bien-pensants préféreraient ne pas savoir : c’est si loin tout ça ! Ben non justement, pas si loin et, contrairement à une idée trop reçue, l’Histoire repasse souvent les plats, on le voit tout le temps(...) Article Zinfos974
Emission Tele Kreol
Interview TV - 28/01/2025
L'emission litteraire de Tele Kreol a la Reunion consacrée a "Il faut qu'on reparle"
(...) Ecouter la suite de l'émission
Interview Radio Sud Plus
Entre récit historique et quête mémorielle, Dominique Maraval explore les ombres de l’occupation française
Actus - 24/11/2024
Dominique Maraval de Bonnery, dans son troisième ouvrage, nous entraîne en 1942 au cœur d’une France déchirée par l’occupation allemande. À travers le village fictif de La Perrière, dans son Auvergne natale, il explore les tensions entre collaboration et résistance, mais surtout les zones grises d’une époque où les notions de bien et de mal s’effacent sous le poids de la survie. "Il faut qu'on en reparle", à la croisée du document historique et de la fiction, réveille des tabous toujours douloureux, en mettant au jour la complexité morale d’une "génération soumise aux affres du nazisme".
"Il faut qu'on en reparle" s’ouvre sur cette déclaration forte : “Cet ouvrage ne contient aucun jugement sur une génération soumise aux affres du nazisme.” Une posture qu’affirme l’auteur dès la préface, comme pour neutraliser les polémiques possibles.(...) Article Imazpresse