« Il faut qu’on en reparle » : la presse en parle !



Interview Radio Sud Plus


L’auteur veut transmettre la mémoire

Loisirs - 03/05/2025

Dominique Maraval vient de publier Il faut qu’on en reparle , un livre qui évoque une période dont certains témoins étaient mal à l’aise avec les faits et les exactions passées.

Dominique Maraval a passé son enfance et sa jeunesse à Bellenaves. Son grand-père, Joseph Auclair, s’est installé comme notaire, vers 1900, et son gendre, le père de Dominique, lui a succédé à l’étude(...) Article La Montagne


Notes de lecture - "Il faut qu’on en reparle"

Culture - 30/03/2025

Ne pas dénaturer l’Histoire ne veut nullement dire ignorer ses mauvais côtés. Nous sommes tous dans le sens de la grande Histoire en célébrant la Résistance, Jean Moulin, le Conseil national, le Grand Charles, Lucie Aubrac. Ce qui n’interdit nullement de dire les monstruosités de 1944, la foule des résistants improvisés et notre ami Maraval ne s’en prive pas. Avec tout le brio qu’on lui connaît.

Pour son troisième roman, Dominique Maraval ne marche pas à côté des flaques : il met les pieds dedans et éclabousse joyeusement les alentours de tout ce que les bien-pensants préféreraient ne pas savoir : c’est si loin tout ça ! Ben non justement, pas si loin et, contrairement à une idée trop reçue, l’Histoire repasse souvent les plats, on le voit tout le temps(...) Article Zinfos974


Emission Tele Kreol

Interview TV - 28/01/2025

L'emission litteraire de Tele Kreol a la Reunion consacrée a "Il faut qu'on reparle"

(...) Ecouter la suite de l'émission


Entre récit historique et quête mémorielle, Dominique Maraval explore les ombres de l’occupation française

Actus - 24/11/2024

Dominique Maraval de Bonnery, dans son troisième ouvrage, nous entraîne en 1942 au cœur d’une France déchirée par l’occupation allemande. À travers le village fictif de La Perrière, dans son Auvergne natale, il explore les tensions entre collaboration et résistance, mais surtout les zones grises d’une époque où les notions de bien et de mal s’effacent sous le poids de la survie. "Il faut qu'on en reparle", à la croisée du document historique et de la fiction, réveille des tabous toujours douloureux, en mettant au jour la complexité morale d’une "génération soumise aux affres du nazisme".

"Il faut qu'on en reparle" s’ouvre sur cette déclaration forte : “Cet ouvrage ne contient aucun jugement sur une génération soumise aux affres du nazisme.” Une posture qu’affirme l’auteur dès la préface, comme pour neutraliser les polémiques possibles.(...) Article Imazpresse